A la recherche...

Sur Arte, j'avais suivi la progression de ce train vers les cimes des Andes, à la rencontre des nuages, des indiens et du mal des montagnes,

Mais la voie a subie trop d'outrage du temps, depuis 1920, et la dernière inondation a eu raison d'un des ouvrages d'art. Seule la dernière ascension est réalisée par ce train.

Nous aurions du passer par ce pont, nous montons en bus,

 Les montagnes sont belles,

  un cimetière indien défendu par les cactus,

 Les seuls oiseaux de ce plateau ? 

 Le lama; l'animal le plus important, sur la Péna, les hauts plateaux Andin, il remplace cheval, mouton, boeuf, porc...

Hauts plateaux andins, la Péna ? 38OO mètres, je suis bien fatigué et des picotements annonciateurs d'une migraine ?

Enfin le train des rêves, l'organisation est parfaite et elle m'a fait oublié la déception initiale du bus. Nos guides, indiens, nous ont passé beaucoup de leur amour de leur aride plateau,

Nous gravissons la montagne, lentement, 

 L'air se fait rare, je suis vraiment fatigué, comme un lendemain de fête, mais sinon, ça va,

 Nous arrivons, l'aqueduc, notre terminus à 4220 m, record personnel battu ! 

Les indiens surgissent pour proposer leur artisanat,

Ces enfants à l'agneau sont craquants,

Mon oiseau le plus haut du monde !   

Nous repartons, la tête dans les nuages et envie de dormir !

Note personnel, mes records d'altitude étant de plus profond que -1000 m (mines de charbon, Loraine) à plus 4220 m (la Péna, Andes), je peux abusivement souigné que j'ai grimpé plus haut, 5220 m que le Mont Blanc !

Salta, située dans une des plus belles régions d'Argentine, a conservée nombre d'édifices publiques ou religieux de l'époque coloniale, ce qui fait son charme,

Il fait bon de se promener dans ses rues, et je n'ai pas hésité, avant de gouter à ses empeñadas délicieuces à la   "Tacita", avec vue sur l'église San Fransisco, de la parcourir,

Version magenta 

En version bleue 

Mendoza détruite en 1860 par un tremblement de terre, propose très peu de bâtiments coloniaux, mais fait partager sa passion pour le vin, passion difficile à vous transmettre, avec leur cépage vedette, le Malbec,

 La rencontre avec les indiens,

Des botégas, 

Mendoza est l'occasion de mon  premier contact avec les Andes, avec en chemin ce monument minéral naturel, malheureusement avec les ruines d'une station thermale,

Derrière moi, le mont Aconcagua, presque 7000 m (il continue de grandir)

le toit des amériques.  Je suis quand même à 3200m,

  Des canards andins,

 Le quartier de la Boca restera dans ma mémoire, quartier où échouaient les immigrés Espagnols et Italiens qui venaient louer une chambre dans des coventillos, des maisons communes, construites avec des matériaux de récupération, bois floté, tôles ondulées, 

 Je ne pouvais trouver Mafalda qu'à le Boca, bien sur,

Le cimentière du Retiro, au dernières demeures parfois imposantes,

 Pour les témoignages à Eva Peron, née Duarte, le mieux, c'est de commencer par la fin ?

Lucas, merci de m'avoir accompagné dans la découverte de ta capitale,

Cette ville me charme, je pourrais rester plus longtemps, à découvrir ses habitants, ses quartiers, ses restaurants et ses monuments. Elle n'est pas spectaculaire, elle est agréable à découvrir, avec le Tango avenida Florida,

 Et des parcs ornés de statues souvent offertes par une communauté ou un pays, par exemple l'espagne, 

  l'angleterre, 

Ou de création locale, Botero, 

Cette fleur est plus belle la nuit, 

L'amer pour ma navigation dans el centro,   menos de tierra, mas de cielo !!!  

Et bien sur le Théatro Colon, 

La casa Rosada, siège du gouvernement,

Le plus ancien café de Buenos Aires, le café Tortoni,

 Le rio de la Plata, plus large fleuve au monde, 200km (?), 

Une ville très arborée, dans ses rues, ses parcs avec des arbres magnifiques, 

Merci !