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Le train des nuages, el tren de las nubes

Sur Arte, j'avais suivi la progression de ce train vers les cimes des Andes, à la rencontre des nuages, des indiens et du mal des montagnes,

Mais la voie a subie trop d'outrage du temps, depuis 1920, et la dernière inondation a eu raison d'un des ouvrages d'art. Seule la dernière ascension est réalisée par ce train.

Nous aurions du passer par ce pont, nous montons en bus,

 Les montagnes sont belles,

  un cimetière indien défendu par les cactus,

 Les seuls oiseaux de ce plateau ? 

 Le lama; l'animal le plus important, sur la Péna, les hauts plateaux Andin, il remplace cheval, mouton, boeuf, porc...

Hauts plateaux andins, la Péna ? 38OO mètres, je suis bien fatigué et des picotements annonciateurs d'une migraine ?

Enfin le train des rêves, l'organisation est parfaite et elle m'a fait oublié la déception initiale du bus. Nos guides, indiens, nous ont passé beaucoup de leur amour de leur aride plateau,

Nous gravissons la montagne, lentement, 

 L'air se fait rare, je suis vraiment fatigué, comme un lendemain de fête, mais sinon, ça va,

 Nous arrivons, l'aqueduc, notre terminus à 4220 m, record personnel battu ! 

Les indiens surgissent pour proposer leur artisanat,

Ces enfants à l'agneau sont craquants,

Mon oiseau le plus haut du monde !   

Nous repartons, la tête dans les nuages et envie de dormir !

Note personnel, mes records d'altitude étant de plus profond que -1000 m (mines de charbon, Loraine) à plus 4220 m (la Péna, Andes), je peux abusivement souigné que j'ai grimpé plus haut, 5220 m que le Mont Blanc !